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il y a 5 ans
J'ai envie de vous raconter ce que j'ai vécu ces derniers mois. J'ai 24 ans et au printemps dernier, j'étais encore un gigolo. A l'époque j'allais souvent au théâtre. J'y allais par goût mais aussi parce que j'y rencontrais souvent des femmes d'un certain âge assez sophistiquées qui aiment s'offrir le luxe d'une nuit avec un homme très jeune. C'est ainsi que j'arrondissais mes fins de mois d'une façon très substantielle.
Mais ce soir là, ma vie a basculé. A l'entracte, comme d'habitude au foyer je laissais traîner mon regard au hasard dans l'espoir de croiser celui de celle qui ferait de moi son amant pour la nuit. Comme souvent, une femme qui paraissait avoir entre quarante et quarante-cinq ans, me fixait. C'était une brune sophistiquée son visage qui, s'il n'avait plus la fraîcheur de celui d'une fille de vingt ans, montrait par contre une personnalité avec beaucoup de caractère. Je lui ai souri puis tranquillement je me suis assis à sa table. Nous avons commencé par échanger des banalités sur la pièce, mais son regard démentait son intérêt pour le théâtre. J'ai été un peu surpris lorsque son pied est venu contre ma cheville. En effet d'habitude, c'est plutôt à la sortie que j'avais l'habitude de proposer un dernier verre à ma conquête d'un soir. A la fin de l'entracte elle m'a donné rendez-vous à la sortie.
A la fin du spectacle, je l'ai attendue longtemps. Je crois qu'elle a fait exprès de traîner dans les couloirs. Lorsqu'elle m'a enfin rejoint, elle m'a pris d'autorité par la main et m'a emmené vers sa voiture. C'était une BMW noire aux vitres teintées. De prime abord c'était agréable de se laisser faire comme çà. Au moment de s'asseoir elle a remonté sa jupe ample sur ses cuisses. - C'est pour ne pas marcher dedans ! Çà n'a pas fait un pli ; j'avais une vision privilégiée sur le haut de ses cuisses. Elle était en bas et porte-jarretelles.- Ne sois pas timide, caresse-moi ! J'ai posé la main sur son genou puis doucement je l'ai caressée. Au bout de deux minutes, d'un mouvement vif, l'air excédé, elle m'a pris par les cheveux, a écarté les cuisses en grand, et m'a écrasé le nez contre son sexe complètement épilé. - Lèche ! et applique-toi petite salope. J'ai voulu résister mais elle me tenait bien. Son odeur m'a envahi, j'ai fait ce qu'elle voulait autant par goût que par espoir d'une belle gratification le lendemain. Je me faisais des illusions.
Je l'ai léchée tout le temps qu'a duré le trajet. Comme sa voiture était une automatique elle ne m'a pas lâché. En s'arrêtant elle m'a repoussé v i o l emment. - Descend et viens m'ouvrir la porte. Le jeu me plaisait, la soirée ne s'annonçait pas banale. J'ai contourné la voiture et lui ai ouvert. Elle m'a donné les clefs. - Rentre la et dépêche-toi de me rejoindre.
Il m'a fallut quelques minutes pour trouver la télécommande du garage puis, la voiture dans le garage je suis allé la rejoindre. Je l'ai trouvée en sous-vêtements noirs, étendue dans le canapé. - Déshabille-toi, et sers-moi un cognac. Il faut que je vous dise, je ne suis pas très poilu, un léger duvet au menton, mais rien sur le torse et les jambes. pendant que je me déshabillais, elle me regardait avec un sourire ironique et lorsque je j'ai été nu - Pas très viril tout çà, mais pour ce que j'ai en tête c'est plutôt bien.
Je l'ai regardée étonné. J'étais perplexe. J'avais l'impression de perdre pied. Cette femme était attirante mais semblait dangereuse. J'étais perdu dans mes pensées, je n'ai pas entendu ce qu'elle disait. Elle s'est levée, est venue vers moi, elle m'a enlacé, m'a embrassé. J'ai repris mes esprits et j'ai répondu à son baiser. Nos langues se cherchaient, se trouvaient se perdaient. Ses mains courraient sur mon corps, les miennes malaxaient ses seins qu'elle avait arrogants. Elle a caressé mes fesses puis mes cuisses. Elle est passée derrière moi et tout en m'embrassant dans le cou, au creux de l'épaule, elle a joué avec mon sexe. Mes testicules, mon pénis qui commençait à durcir. C'est alors qu'elle a refermé la main brutalement emprisonnant le tout. - Petit con. Tu pensais vraiment pouvoir me séduire ? Me prends-tu pour une de ces vieilles peaux ?
Elle a fouillé dans un tiroir et en a sorti quelque chose qui cliquetait. - Les mains dans le dos ou je t'arrache les couilles et elle a serré à me faire très mal. J'ai immédiatement obéi. Elle m'a immobilisé avec des menottes, puis me lâchant, elle m'a fait pivoter et m'a giflé à la volée. D'un coup de genou entre les cuisses, elle m'a fait tomber à genoux et, comme dans la voiture m'a obligé à la lécher en me prenant par les cheveux. Pendant que je la léchais elle m'a expliqué : - Tu vas devenir la plus belle chienne que l'on puisse imaginer. Les mecs comme toi ne manquent à personne ce n'est pas demain qu'on va se mettre à ta
recherche (elle avait raison sur toute la ligne). Je vais faire de toi un beau travelo soumis. Esclave de gré ou de f o r c e . Je vais te modeler à coup de cravache, d'hormones, de fringues et de liens. Bientôt tu ne sauras plus dire si tu es un homme ou une femme, si tu as envie de caresses ou de coups. Elle m'a repoussé, j'ai basculé elle m'a immobilisé les chevilles et m'a bâillonné. Puis elle est partie et m'a laissé au milieu du salon toute la nuit.
Louise est médecin, le lendemain elle est arrivée avec une seringue. - Des hormones, je vais te faire une poitrine de grosse salope, lourde et pendante. Je me suis tortillé pour essayer de lui échapper mais elle s'est assise sur moi et a fini par piquer. Puis elle m'a détaché les chevilles et m'a conduit dans une chambre où elle m'a attaché par la cheville au pied du lit. Elle a cadenassé le bâillon puis m'a détaché les mains. lorsque 'jai voulu me jeter sur elle, elle a fait un pas en arrière et m'a regardé trébucher. La chaîne était vraiment très courte. Puis elle a brandi une cravache et m'en a asséné une dizaine de coups. - Tu as intérêt à devenir docile. Dans trois semaine tu seras une belle petite chienne lubrique mais d'ici là tiens-toi à carreau. Elle est partie et n'est revenue que le soir pour me déposer une gamelle de viande hachée et de riz. Elle défaisait alors le bâillon après m'avoir attaché les mains dans le dos. Je devais alors manger le nez dans la gamelle, comme un chien. Pendant trois semaines ce sont les seuls rapports que nous ayons eus. Au début je me révoltais, j'essayais de l'attr a p e r. Çà m'a valu pas mal de coups. Mais peu à peu alors que mes seins gonflaient, je perdais mon assurance, ma v i o l ence. Je me masturbais de plus en plus souvent. J'avais besoin de plaisir. Quand elle me corrigeait, une fois qu'elle avait cassé ma résistance, elle se masturbait parfois face à moi ou jouait avec mes testicules.
Au bout des trois semaines, il lui arrivait de me retirer le bâillon, je ne pensais même plus à crier. - Tu deviens très bien. Tiens mets ces bas et ces escarpins. Petit à petit elle me féminisait. Comme je n'avais pas de miroir je ne pouvais pas me faire une idée de mon image mais peu à peu je m'habituais à ces vêtements. Elle jouait avec moi comme les gamines jouent avec leur poupée "Barbie". Cuir, latex, vinyle toutes ces matières me devenaient familières. Les liens, les attaches aussi. Ma poitrine avait d'abord pris l'apparence de celle d'une jeune fille à peine pubère, puis s'était affirmée fermement. Elle est devenue très sensible, aux caresses et aux coups. Depuis, comme le traitement hormonal a continué j'ai une poitrine énorme qui pend et s'étale. Ma maîtresse me traite de grosse vache.
Un soir elle m'a détaché. Ma première idée a été de m'enfuir. Mais toujours à demi-nu, et cette poitrine qu'est ce que j'aurais bien pu devenir. Ici Louise s'occupait de moi. Et comment dire, j'avais pris goût à cette vie. Le lendemain comme une esclave docile, je lui portais son petit-déjeuner au lit. Je la réveillai d'un baiser et d'une main passée sous les draps je lui caressais l'intérieur des cuisses.
- Nous y voilà, dit-elle en s'étirant. Recule un peu que je te voie.
J'avais mis un body en latex qui laissait mes seins nus, un short en vinyle et des bottes assorties ainsi qu'une paire de gants en latex. Au cou un collier de chien et une paire de menottes pendait à ma ceinture. - Très bien, avance. Je m'approchai d'elle et elle me gifla. Tu n'es pas maquillée. - Je ne sais pas le faire, dis-je. - Je ne veux pas te voir comme çà, allez sous les draps et lèche-moi comme la chienne que tu es devenue "Clivia". Depuis elle ne m'appelle plus que comme çà. Je l'ai léchée jusqu'à ce qu'elle ait fini de manger. J'étouffais sous les draps, mais retrouver le goût de sa liqueur était un tel plaisir que j'y suis resté sans broncher. Ce matin là elle m'a appris à me maquiller comme une pute et m'a imposé le port des menottes en permanence.
Cela fait maintenant quelques mois que je suis sa chienne. Je pense à moi au féminin malgré mon sexe que le traitement n'a pas altéré. Il lui arrive souvent de m'attacher en croix sur le dos et de me chevaucher. - Les attributs du mâle et la mentalité d'une fille soumise, dit-elle à ses amies qu'elle invite parfois. Au début elle m'exposait attachée (oui je parle de moi au féminin) puis voyant ma docilité elle m'a libérée pour que je puisse faire le service. Mais attachée ou pas je suis en permanence à la disposition de tout qui me rencontre. C'est souvent alors que je suis baissée qu'un doigt s'introduit entre mes fesses et fouille mon anus. Les ongles longs sont parfois douloureux mais l'humiliation me met dans un tel état que ma Maîtresse m'impose quand ses amies viennent un harnais en cuir autour du sexe pour ne plus me voir en érection sans son autorisation.
Je vis en permanence perchée sur des talons-hauts qui cambrent mes reins et offrent mon cul aux regards. Toujours trop maquillée et je fais tout les menottes aux poignets. Enfin, il y a vingt centimètres de chaîne entre les bracelets. Les clefs me sont accessibles mais sous scellés. Je peux me libérer en cas de besoin. Mais si Louise voyait les scellés défaits sans une bonne raison, elle me virerait.
Je suis amoureuse d'elle je crois et je fais tout ce que je peux pour lui plaire. Pour mon anniversaire elle m'a proposé d'aller au cinéma. Nous sommes passées devant un sex-shop et je lui ai suggéré d'acheter un plug. Elle a souri m'a embrassée et nous sommes entrées. Nous avons acheté le plug, et Louise a ouvert mon trois-quarts en vinyle devant le vendeur
pour m'enfiler le plug. Comme je ne portais que mes bas et mon body seins nus quand je me suis penchée j'avais l'air d'une grosse vache. L'humiliation ma faite rougir mais dès que le plug a commencé à me déchirer l'anus je n'ai plus pensé à rien d'autre.
J'ai passé une des plus belles soirées de ma vie cette nuit là.
Depuis elle m'emmène souvent en ville et m'abandonne à moitié nue dans la BMW. Avec les vitres teintées il faut vraiment se coller le nez sur la vitre pour me voir. L'odeur de cuir des fauteuils m'excite et Louise me retrouve souvent avec un doigt dans l'anus quand elle ne m'a pas totalement immobilisée. Parfois en fin de soirée, elle me dépose au bois de Boulogne là où se trouvent tous les voyeurs. Lorsqu'elle arrête la voiture, je dois allumer le plafonnier et ouvrir mon manteau. A moitié nue, enchaînée, je dois me masturber. Elle en profite pour m'injurier. Les mots qu'elle emploie sont orduriers et vulgaires. Dans des moments comme ceux-là, la honte m'envahit de nouveau et ma jouissance est encore plus grande.
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